L'hologramme se modifia pour mettre une scène un ensemble de scientifiques dans une structure grande comme une maison qui ressemblait à une salle de commandement en ruine l'équipe vérifiait s'il ne restait pas des installations électriques à récupérer quand l'un des scientifiques hurla de douleur avant de s'effondrer évanouit après avoir touché à une sorte de boite étrange du quelle un léger filet de couleur acier de fumé s’échappait. L'alarme sonna en moins d'une demie seconde et des homme armées en combinaison entrèrent dans la pièce et évacuèrent les scientifiques les faisant passer par une sorte de sas de décompression et de décontamination l'homme fut transporté ensuite dans une civière. Ensuite, un autre groupe en armure lourde cette fois entra et enferma la boite dans un champ de force magnétique de faible intensité bloquant la progression de la fumée puis ils soulevèrent le champ qui souleva la boite et la posèrent dans une sorte de malle dans laquelle un grand nombre de systèmes de confinements s'activèrent la malle fut ensuite évacué de la pièce.
Le décor changea d'un coup.
Une infirmerie se matérialisa, le scientifique qui s'était évanoui était allongé sur un lit, il transpirait abondamment un docteur et deux infirmiers étaient à côté de lui en tenue anti-contamination et à lui faire un grand nombre de tests. Le docteur prit un échantillon de son sang et le regarda au microscope : « -Par la galaxie !» Cria-t-il et il essaya de se jeter sur le bouton d'alarme et fut transpercé par une seringue au niveau de la gorge puis s'effondra l'infirmier le plus proche du malade mourut peut après la nuque pulvériser et le corps projeté sur trois mètres, le dernier eu le temps d'activer l'alarma incendie avant de mourir les jambes pliées dans un sens peu naturel. La pièce changea d'un coup, elle était ravagée la porte arrachée de ses gonds et deux personnes, dont un avec le visage masqué par un cercle noir sur l'enregistrement, se trouvaient au centre de la pièce :
« -Comment un scientifique sans entrainement à pu faire ça ? La voix légèrement tremblante.
L'homme au visage masqué se releva et se dirigea vers le microscope qui avait été miraculeusement épargné par le massacre et jette un œil dessus. Puis il se redressa et en ignorant superbement l'autre homme sortit de la pièce quasiment en courant.
Une autre pièce se matérialisa, un bureau avec trois personnes à l'intérieur, un homme le visage dissimuler, un autre en armure lourde, la dernière était identifiable comme la directrice vu plutôt.
« -Une contamination cetyn vous dites Régat ?
-Exact, je conseille de verrouiller la totalité de la structure et de passer en état d'alerte 6 intrusions et contaminations. Sa voix était plutôt calme et froide
- Nous ne pouvons pas nous le permettre, vous le savez bien faire cela coûterait des millions déjà que cette installation est un gouffre….
-Madame, je suis d'accord avec notre « ami » des services secrets pour une fois, nous ne pouvons nous permettre une contamination de cetyn cela pourrait coûter pas des millions, mais des milliards à la fédération. La voix de l'homme était ferme bien qu'un peu ironique au début.
La femme soupira puis hocha la tête leur donnant l'ordre d'activer le plan 48 de confinement.
Changement de salle encore une fois cette fois dans un couloir ou une quinzaine d'hommes en armures pointait leurs armes sur un le scientifique contaminé attendant l'ordre de tirer. « Ne l'abîmer pas trop messieurs » Leur dis, une voix féminine dans leurs oreillettes les soldats se regardèrent et hochèrent la tête puis 5 tires fusèrent dans les jambes et les bras de l'homme qui les esquiva au grand étonnement des soldats. L'homme se mit à courir rapidement vers eux, ils se ressaisirent et lui tirèrent abondamment dessus, il prit plusieurs tirs, mais ne ralentit pas, avant de sauter au-dessus des trois mètres trente de leurs armures avant et se faire abattre par un tir puissant qui lui arracha une partie du torse, l'agent qui se tenait derrière les soldats venait de tirer.
Une salle d'autopsie apparut à l'écran. Un docteur en combinaison était penché sur le corps de l'infecter, il semblait très intéressé limite enthousiaste contrastant avec les sept autres personnes dans la pièce cinq soldats donc celui tout à l'heure , cette dernière, et l'homme au visage caché.
« -Alors docteur ? Comment cet homme a pu faire de tels dégâts ?
-Mhhhh l'interpeller finit par lever la tête Comment ?
-Comment cette personne a pu fracasser une porte de décontamination comme si de rien était ? La voix impatiente venait du soldat
-Ha, et bien, c'est très simple, il semblerait que cette personne soit contaminée par un système de conversion cetyn qui est bien plus violent que ce que nous pensions ce qui est logique quand on regarde le corps humain ces capacités sont restreintes par des limites imposées quand on compare à ces compétences réel si ont fait sauter ces limites voilà ce qu'on obtient.
-Vous voulez dire que la conversion l'a renforcé ? Un scepticisme certain dans la voix
-Exactement ! La conversion de cetyn rend le corps plus puissant tout en cassant les résistance mental en infectant le cerveau et la colonne vertébrale.
-Très intéressant, je n'en doute pas ! S'exclama la directrice, tout se levant ; un budget vous sera alloué pour les recherches que vous effectuerez.
La pièce disparut et un ensemble de donner apparut à l'écran décrivant les résultats des expérimentations obtenues grâce à l'artefact de conversion cetyn le renforcement du corps était d'environs d'un facteur de 1,5 et sa force de 2 le cerveau était totalement envahit de nano-bot qui se greffait aux neurones les atrophiant annihilant la volonté de l'infecté et reliant les cerveaux infectés comme dans une ruche plus le nombre d'individus augmentait plus ils étaient intelligent. Bien que les données techniques relatives aux nano-bots fussent dissimulées, leurs systèmes de propagation et de contamination ainsi que leur symptôme furent communiqués.
Il n'y a ni bien ni mal il n'y a que des divergences de point de vue, personne ne pense être foncièrement mauvais au fond de lui, et tout le monde trouve au final une justification à ses actes.