Mes adieux à Celestus
Posté: Jeu Jan 24, 2013 2:02 amAprès plus de 500 jours TSU de bons et loyaux services, c’est officiel, j’arrête Celestus. Je vous stoppe tout de suite : j’ai suivi en dilettante les derniers évènements, mon départ n’est pas lié à ceux précédemment enregistrés. Je médite le sujet depuis déjà un bon mois et j’ai mûrement fait le choix de cesser le jeu. Comme j’ai pour coutume de cesser proprement les jeux auxquels j’ai donné beaucoup de mon temps, je vous explique ce qui m’a conduit à l’inévitable décision.
C’est tout bête, mais Celestus ne m’amuse plus. Il y a un véritable contraste entre la qualité de son game-play, qui est tout simplement époustouflant, et la qualité de son rôle-play. D’un côté vous avez des réformes incessantes qui vous obligent à toujours modifier votre conduite et votre attitude, en somme resté en permanence compétitif, des graphismes époustouflants, et des possibilités que je qualifierai de quasiment infinies, et de l’autre vous avez une sclérose de tout ce qui touche à l’univers de Celestus. Ce qui m’a le plus marqué durant tout ce temps, c’est que chacune des factions est dirigée par quelque chose dont on ne sait rien : ni le nom des dirigeants, ni leurs organisations, ni leur modes de fonctionnements, ni l’évolution de celles-ci depuis le BG, rien. C’est vraiment le côté schizophrène du Haut Duc pendant la sécession des CDP qui m’a le plus marqué : la Faction n’intervient pas quand 75% du territoire est sous occupation du territoire ennemi, alors qu’elle se réveille quand dix clampins décident de s’émanciper. Mais pire que ça, c’est le côté bancal de la faction que l’on doit considérer à la fois comme une sorte « d’entité supérieure » au sein du jeu, et qui portant ne contrôle rien. De la diplomatie au territoire, tout est contrôlé par les joueurs. J’ai vraiment eu l’impression pendant tout ce temps qu’il y avait une sorte de négation de l’intelligence des joueurs, en ce qu’ils ne seraient pas capables de se diriger eux-mêmes, de créer du rôle-play pour faire avancer les BG de factions ou même tout simplement de se constituer un propre gouvernement interne. De toute façon, on le voit bien sur la frise chronologique : plus on avance, moins les joueurs apparaissent.
Mais bon, comme disait Beaumarchais « sans la liberté de blâmer, il n'est pas d'éloge flatteur". Celestus c’est surtout et avant tout des centaines d’heures passées en slip à faire des batailles spatiales avec des adversaires (quitte à ce que le Dominion Européen devienne une légende en pratiquant une attaque par rampe sans allumer la rampe), ces des fous rires gros comme des maisons, des prises de tête, bref du super bon temps.
Avant de partir je fais un big bisous (et une « wesh dédicace ») à tous ceux avec qui j’ai passé de grands moments : Jazz Inita (et personne n’y touche !), Fabbien, Talrasha, Ludrion, Nounours, Lienrag, Toutank, Rota, Cab, Navetia, Mortak, Back, Deam, Torvucci, Moortus, Dracuslemoche, Fitz, Jenk, Maul, Zedra, Talentis, Rowin, Vys, Zondag , et bien d’autres encore que j’ai dû oublier !
Et puis aussi mine de rien à Véovis, sans qui tout cela aurait été impossible.
Bonne continuation à tous !
Ljd Falas
C’est tout bête, mais Celestus ne m’amuse plus. Il y a un véritable contraste entre la qualité de son game-play, qui est tout simplement époustouflant, et la qualité de son rôle-play. D’un côté vous avez des réformes incessantes qui vous obligent à toujours modifier votre conduite et votre attitude, en somme resté en permanence compétitif, des graphismes époustouflants, et des possibilités que je qualifierai de quasiment infinies, et de l’autre vous avez une sclérose de tout ce qui touche à l’univers de Celestus. Ce qui m’a le plus marqué durant tout ce temps, c’est que chacune des factions est dirigée par quelque chose dont on ne sait rien : ni le nom des dirigeants, ni leurs organisations, ni leur modes de fonctionnements, ni l’évolution de celles-ci depuis le BG, rien. C’est vraiment le côté schizophrène du Haut Duc pendant la sécession des CDP qui m’a le plus marqué : la Faction n’intervient pas quand 75% du territoire est sous occupation du territoire ennemi, alors qu’elle se réveille quand dix clampins décident de s’émanciper. Mais pire que ça, c’est le côté bancal de la faction que l’on doit considérer à la fois comme une sorte « d’entité supérieure » au sein du jeu, et qui portant ne contrôle rien. De la diplomatie au territoire, tout est contrôlé par les joueurs. J’ai vraiment eu l’impression pendant tout ce temps qu’il y avait une sorte de négation de l’intelligence des joueurs, en ce qu’ils ne seraient pas capables de se diriger eux-mêmes, de créer du rôle-play pour faire avancer les BG de factions ou même tout simplement de se constituer un propre gouvernement interne. De toute façon, on le voit bien sur la frise chronologique : plus on avance, moins les joueurs apparaissent.
Mais bon, comme disait Beaumarchais « sans la liberté de blâmer, il n'est pas d'éloge flatteur". Celestus c’est surtout et avant tout des centaines d’heures passées en slip à faire des batailles spatiales avec des adversaires (quitte à ce que le Dominion Européen devienne une légende en pratiquant une attaque par rampe sans allumer la rampe), ces des fous rires gros comme des maisons, des prises de tête, bref du super bon temps.
Avant de partir je fais un big bisous (et une « wesh dédicace ») à tous ceux avec qui j’ai passé de grands moments : Jazz Inita (et personne n’y touche !), Fabbien, Talrasha, Ludrion, Nounours, Lienrag, Toutank, Rota, Cab, Navetia, Mortak, Back, Deam, Torvucci, Moortus, Dracuslemoche, Fitz, Jenk, Maul, Zedra, Talentis, Rowin, Vys, Zondag , et bien d’autres encore que j’ai dû oublier !
Et puis aussi mine de rien à Véovis, sans qui tout cela aurait été impossible.
Bonne continuation à tous !
Ljd Falas
) donc je serais surement encore là ! Et n'hésite pas à me contacter sur Skype de temps en temps