Juste pour savoir si certains sont d'accord avec ces écrits. Donnez moi vos impressions ou idées ou dite moi si c'est à chier.
Tout d’abord, il serait bon de faire la distinction entre vivre et vie. Bien que chaque mot puisse faire l’éloge de débat, je m’en tiendrais à ma vision de la chose. La vie n’est autre que faisant partie du monde du vivant. Là, je suppose qu’on ne peut que très difficilement me donner tort. Donc aborder la définition de ce qui peux être considérer comme vivre fera, du moins je l’espère, débattre. Comment définir le fait de vivre, voir même de bien vivre. Est-ce que vivre dans la pauvreté, le fait d’être abusé, est-ce que les sociétés occidentales qui vivent dans l’opulence, du moins pour l’instant, sont telles plus heureuses que des pays sans le sou. Est-ce qu’un jeune africain vivant sous le seuil de pauvreté et devant se battre quotidiennement pour pouvoir manger ne fut-ce qu’une fois tout les 2 jours, a-t-il l’impression d’être heureux, ou encore a-t-il la même notion de vivre ou de ce qui mérite d’être considérer comme vivre qu’un smicard français, de même qu’entre un smicard français et un noble et fortuné français. Est-ce que le smicard français à t-il le droit de se plaindre face au noble alors que lui-même est bien mieux logis que l’africain. On pourrait se demander également de quel droit l’homme vivant dans une société ou il peut manger à sa faim, dormir au chaud (bien qu’en Afrique il fasse toujours chaud) oserait émettre une seule plainte par rapport à sa condition. Comment se fait t-il pourtant qu’il y a plus de suicides dans nos pays et dans les pays non- développés (bien que la statistique guerre et crimes rééquilibre le tout dans certains pays africains). On ne peut que conclure que considérer de bien vivre soit intiment lié à la raison. Doit t on considérer que l’homme ne vivant pas dans des situations extrêmes (appelons le l’homme occidental, ca changeras pour une fois) et se plaignant quand même, soit un homme égoïste, voir cruel. Non, le problème n’est pas lié à l’homme, mais à son conditionnement sociétal. Rare sont les miséreux de pays ou même Satan en personne ne voudrait s’aventurer qui se suicident. Je sais que j’aborde souvent de suicide mais il est très démonstratif d’un problème qui tant à croitre, le manque de relativisme. Quel est donc ce formatage qui nous inhibe nos sentiments les plus humains, les plus nobles et justes, celui de se soucier d’autrui. Pourtant, beaucoup de choses on été dites sur tout les problèmes que l’humanité va rencontrer, et ceci dans son ensemble. Pourtant nous restons sourds aux appels de détresse que nous lance notre petite planète bleue. Souffrons-nous d’une cécité visuelle au point de ne même pas voir ce que nous sommes en train de faire et en train de laisser comme héritage. Nous ne pensons même pas à nos futures générations, pourtant le fait d’avoir des enfants représente encore une finalité pour beaucoup de gens. Pourquoi sommes- nous incapables de vouloir un monde juste, est-ce juste par peur de perdre nos petits avantages aussi futiles soient t-ils. Avons-nous peur de partager, que l’autre, viennent prendre ce qui m’appartiens. Déjà, abordons ce droit, bien qu’inexistant à mes yeux. Pourquoi notre société ne devrait-elle pas perdre quelques uns de ses avantages au bénéfice d’autres contrées. Est-ce que l’occident est autodidacte, ou son histoire et son présent sont t-ils au contraire entachés de sang, d’exploitation et d’indifférence. Mais que pouvons nous faire ? Rien, car nous ne gérons plus nos sociétés, nos mondes. Mais que vas t-il advenir ? Il serait bien innocent de penser que les choses vont se passer plutôt mieux. Risquons-nous d’avoir non pas une révolution française ou une tea-party mais bien une révolution des peuples marginalisés. Comment des peuples, pays ou voir même continents tout entier ne pourraient ils se soulever contre cette injustice. Pourquoi n’aurait t-il pas droit d’exiger autant que nous même en faisant abstraction de l’économie. Nous qui sommes incapables de nous rendre compte que des gens meurent par milliers, conséquence de n’avoir rien à manger ou dans certains cas obliger de manger de la terre. Nous qui exigions d’avoir des labels de qualité pour une chose, d’avoir de la culture bio pour une autre chose, nous qui donnons autant d’argent pour 36 variétés de nutrition pour animaux domestiques Hors leur misère à fait notre richesse. Si dans un certain livre sacré, on envisage une grande guerre dite sainte, je me l’imagine plus facilement entre sociétés vivant sous la corne d’abondance et que ceux qui vivent sous l’épée de Damoclès. Est-ce la nature de l’homme ou son intelligence qui nous amène à de telles perversions, comment se fait t-il qu’il n’y ait pas plus d’anarchistes, d’alter mondialistes ou encore de marginalisés dans notre société. Il ne s’agit pourtant que de gens pensant à un monde meilleur pour tous, n’est –ce pas ça une preuve d’intelligence? (petite parenthèse : quand je vois ce débat sur la burqa en France, les télévisions montrant chaque soir des femmes portant la burqa, à croire que ces être humains sont des montres, on pourrait facilement se dire que d’ici quelques temps, on se demandera s’il y a bien une âme dans ces personnes. J’ai toujours pensé que nos sociétés retourneraient en premier vers un pseudo 16ème siècle ou 17ème siècle, et bien non, ce sont nos petits esprits qui régressent avant même d’avoir atteint la limite de notre équilibre sociétale. Une bonne question, ou du moins pour celui qui aimerait vivre dans un monde plus, peut-on rattraper les choses, pouvons nous nous faire pardonner pour notre indifférence et notre égoïsme. Comment avons-nous pu laisser mourir des dizaines de milliers d’enfants à travers le monde hors que nous gaspillons allégrement nos ressources. Pouvons nous encore avoir l’audace de vivre comme ça, comment ose ton encore produire certains de nos produits de base en Afrique et cultivés par des africains alors qu’eux n’ont même pas le droit d’y toucher. Oserait t-il y toucher qu’il finirait en prison pour vol. Hors j’ai suis persuadé qu’on ne peut en vouloir à l’homme de voler pour se nourrir.