Article 2 :
Nous, signataires du présent Traité, nous engageons à combattre toutes les formes de génocides. Quiconque détruira une colonie se verra poursuivie par nous. Nous nous engageons ainsi à tout mettre en œuvre pour faire cesser la Destruction. La satomisation pourra être envisagée en ultime recours, lorsque tout le reste aura échoué.
Comme il a été remarqué dans les débats précédents, le terme "tout" fait preuve d'une largesse de sens beaucoup trop importante pour un acte aussi important que la satomisation. Je vous rappelle que des millions de vie sont en cause à chaque fois qu'une colonie est visée et nous ne pourrions nous permettre de laisser la morale individuelle juger de l'inéluctabilité de l'utilisation de ce que nous considérons comme une arme de destruction à l'échelle planétaire.
Dans ce cas, j'invite les seigneurs ayant ratifié le précédent traité à débattre sur la possibilité d'un errata de l'article 2, qui affinera les conditions d'utilisation de la satomisation comme "dernier recourt".
Sachez en tout cas qu'il n'a jamais été question d'utiliser la satomisation comme représaille, même contre un utilisateur à mauvais escient de la machine. La folie d'un homme ne doit pas entraîner la mort d'une population toute entière, dans ce cas il faudra aussi répondre à la question suivante : Faut t'il laisser juger individuellement de la nécessité d'utilisation de la satomisation ?
Veuillez menez un débat constructif messieurs, et sachez que quel que soit les failles décelées, un traité signer n'est jamais caduque, mais à améliorer.