La symphonie d'Ikromar...

La symphonie d'Ikromar, musique et espace bémols pour entregent pointé...

J'étais assis dans mon grand fauteuil marron, regardant dans le vide immense de l'espace... me demandant ce qui pouvais bien ce cacher sur chacune de ces étoiles que je voyait. Le voyage s'était passé sans encombres, et aucun bémols ne pouvaient ternir le confort de l'appareil, même si j'avais fait des pied et des mains pour qu'il ne soit pas vu a la hausse.
Comment allaient être ces gens ? Quels seraient leurs opinions ? Leurs désirs, leurs vices... Je n'en savais rien, mais je n'étais pas angoisser par la choses. Après tout, j'avais été choisi par tout un peuple pour prendre la parole en son nom, j'avais donc la force des ces milliard d'individus qui m'avaient porté a ce rang.
Je fermais un dossier, et n’était a présent qu'éclairé par l'écran de veille de mon ordinateur... Je rajustait mon col... Ma cravate... mes yeux étaient d'un bleue profond symbole de confiance en soit... J 'étais prêt.

Les haut parleurs annoncèrent via la vois cristalline d'Eva que l'appontage s’était déroulé avec succès, et déjà, tout le vaisseau commençait a se réveiller. La porte de sortie s'ouvrait devant moi, m’offrant le spectacle d'un spacio-port des plus classiques... Des gens qui cours partout, d'autres qui attendent... Au moins je n'étais pas dépayser par un tel spectacle.
J'avais sous le bras un pack de dossier, car bien que cela causé la rage de mes collèges, je ne travaillais presque que sur support papier, trop amoureux du contact de la plume sur le papier pour m'en remettre a la vulgarité d'une clavier ou d'un écran. Je n'avais cependant pas d'aversion pour ces supports, juste des préférences clairement prononcées. C'est d'ailleurs elle qui m'avaient valus en partit ma place.

Mon monde, qui avait pendant des années été ballotté entre des conflits politiques et des guerres d'opinions avait vu en moi le juste milieux de toutes choses : Je me battais pour les miens, dans leurs intérêts et surtout au service de personne d'autre. Avant tout nous voulions garder notre libre arbitre.
Les débats diplomatiques promettaient donc déjà de belle joute verbale pour faire comprendre que quoi qu'il se passerai, jamais les miens ne donnerais une allégeance totale et aveugle... A qui que se soit...