zoltane regardais le Mini-Kaktus en souriant, cette façon de se glisser entre les gens et de regarder le banquais lui faisait penser a un enfant qui tentais de comprendre comment font les grands, bien sur il faisait partie de l'une des plus anciennes puissances de cette univers mais la fausse image de candeur l’attendrissait tout en l'amusant, il entama alors une décente nostalgique repensant a sa fille et ses petits enfants ressassant tout ces petits moments de bonheur, le sourire s'effaça peut a peut alors que les bon souvenirs le ramenais a la réalité, il étais désormais seul mais il ne devais pas se laisser abattre il avais encore certaines choses a accomplir et il en étais revenus, miraculé ou précurseur il tenterais tout pour les ramener eux aussi.
Se changeant les idées il commença a regarder a nouveau autour de lui, son regard se posa sur la prêtresse des muses, une dame a la force de caractère certaine, elle étais la preuve que cette univers n'étais pas si brutale que sa même si rare sont ceux qui ont la même force de conviction, comme souvent avec le don 4evo et lord scrat les inséparables.
Lord scrat un nom qui résonnais dans l'esprit du grand archiviste, il lui devais son retour indirectement mais ce sont les derniers jour de la colonie icart qui restait gravé dans son esprit, le jour ou zoltane eut une vision et décendit au milieu des morts pour trouver un enfant du peuple de scrat, zoltane le sauva pour qu'il succombe au virus quelques jours plus tard, quel message avaient voulu lui donner la nuit, il continurais de méditer la dessus mais plus tard peut étre.
Pour l'heure il s’approcha de la dame et la salua:
Grande Prêtresse je suis ravie de vous revoir je constate avec joie que vous n'avez toujours pas abandonner vos principes si plus de peuples pouvaient faire preuve de la même conviction cela serais profitable a tous.
Il tourna alors ses yeux rouges vers scrat pour lui présenter ses respects:
Lord scrat je voie que vous portez les couleurs des ducs, je pense que c'est mieux ainsi je trouvais que votre politique se rapprochais plus de celle des domaines.
Puis il finit par le don
Don 4evo ravie de vous voire enfin, je n'ai pas encore eut le loisir de discuter avec vous.